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          • Publié le 16/02/2018
          • Par Équipe Médiation
          • Pas à pas > NOVOS SELVAGES

          • Roberto Cabot  Orixá perseguido  1983 Collection de l artiste   DR.jpg
          • En 1984, dans le catalogue de l’exposition au musée d’art moderne de la ville de Paris, « 5/5 Figuration libre, France/USA », Jeffrey Deitch imagine que cette présentation de la figuration libre est « le prélude à une ère nouvelle qui se déploiera très probablement pendant les vingt années à venir, période durant laquelle les courants principaux de l’art contemporain deviendront multiethniques et réellement internationaux ». L’avenir lui a donné raison mais, ailleurs ou venus d’ailleurs plus lointains, déjà quelques artistes souscrivent à cet air du temps. À Nankin, ville conservatrice qui « donnait l’impression d’avoir été enterrée », Ru Xiao-Fan crée sa version sino‑underground de libre figuration sur des feuilles de papier de riz qui passeront les frontières dans les valises d’Occidentaux rencontrés sur le campus des Beaux‑Arts. Roberto Cabot arrive du Brésil à Paris et retrouve une petite communauté d’artistes et intellectuels liés à la scène de la Geração 80, qui pratiquent une même peinture libre et suggestive. Abderrazak Sahli, venu de Tunisie à Paris, se retrouve en empathie et affirme la « dynamique du métissage ».



            In 1984 in “5/5 Figuration libre, France/USA” Jeffrey Deitch said that this figuration libre exhibition was “the prelude to a new era that will very probably define the next twenty years; a period during which the main contemporary art movements will become multiethnic and truly international”. The future proved him to be right, but some artists, from a close or more distant elsewhere, were already following this trend. In Nankin, a conservative town that “seemed like it had been buried”, Ru Xiao-Fan created his Sino-underground version of libre figuration on sheets of rice paper that would cross borders in the suitcases of the Westerners he met on the Fine Arts campus. Roberto Cabot arrived in Paris from Brazil and found a small community of artists and intellectuals associated with the Geração 80 scene, who practiced the same free and suggestive painting style. Abderrazak Sahli came to Paris from Tunisia, felt an empathy and embodied the “mixed culture dynamic”.
             

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