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          • Publié le 06/03/2019
          • Par Équipe Médiation
          • Pas à pas > "La rencontre et ses effets 1955-1958"

          • HD4 Jean Paul RIOPELLE Sans titre  v1958 Collection Université de Montréal   Succession JP Riopelle   Adagp  Paris 2018.jpg
          • C’est lors d’un voyage à Paris, à l’été 1955, que Joan Mitchell fait la rencontre de Jean-Paul Riopelle, à l’occasion d’une de ces réunions festives de la communauté artistique américaine auxquelles participe volontiers le « Canadien ». L’effet de séduction opérant, les deux artistes aux personnalités fortes et complémentaires s’apprivoisent réciproquement en même temps qu’ils découvrent et apprécient leurs pratiques picturales respectives. Pendant les premières années de leur relation, Mitchell partage son temps entre son atelier de New York et divers studios qu’elle loue à Paris durant les étés passés auprès de Riopelle. L’impact de cette rencontre est mesurable à travers certaines transformations dans le travail de chacun. Chez Mitchell, par exemple, la forme concentrique éclate au profit d’une écriture gestuelle débridée qui anime la surface de la toile. Riopelle fait pour sa part une place accrue au blanc comme élément structurel dynamisant ses compositions.

             

            The encounter and its consequences 1955-1958

            It was during a trip to Paris in the summer of 1955 that Joan Mitchell met Jean-Paul Riopelle at one of the lively gatherings of the American artistic community that the “Canadian”, as he was known, regularly attended. Immediately attracted to one another, these two artists with strong but complementary personalities would become closer, gradually getting to know one another while discovering and appreciating their respective ways of painting. In the early years of their relationship, Mitchell divided her time between her New York studio and several workshops in Paris that she rented during the summers she spent with Riopelle. The effects of their encounter can be measured through some of the changes observed in their individual work: in Mitchell’s work, for example, concentric shapes gave way to unbridled gestural marks that brought the canvas surface to life, whereas Riopelle gave a prominent place to white as a structural element that energized his compositions.

             

             

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